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Les croyances populaires : ces choses qui portent malheur

Depuis des siècles, les superstitions ont joué un rôle central dans la vie quotidienne de nombreuses cultures. Qu’il s’agisse de tenter d’éviter la malchance ou de conjurer un mauvais sort, certaines croyances se sont enracinées profondément dans l’imaginaire collectif. Parmi les plus connues, on retrouve celles associées au vendredi 13, aux chats noirs, à l’acte de passer sous une échelle, ou encore à la casse d’un miroir. Explorons ensemble ces symboles de malheur et leur origine.

Superstitions porte-malheur les plus connues

Vendredi 13 : le jour maudit

Le vendredi 13 est sans doute l’une des superstitions les plus ancrées dans nos sociétés occidentales. Dans de nombreuses cultures, le nombre 13 est considéré comme un nombre d’infortune. Cette croyance remonterait aux temps bibliques, notamment à la Cène où 13 personnes étaient présentes avant la crucifixion de Jésus, survenue un vendredi. Depuis, ce jour est vu comme un mauvais présage. D’autres traditions, notamment celles liées à la mythologie nordique ou à l’histoire des Templiers, renforcent cette idée du vendredi 13 comme un jour chargé d’énergie négative.

Les chats noirs : compagnons du malheur ou de la magie ?

Le chat noir, animal mystérieux et fascinant, a souvent été perçu comme porteur de malheur, surtout lorsqu’il croise notre chemin. Cette superstition remonte à l’époque médiévale, quand les chats noirs étaient associés aux sorcières et à la magie noire. On pensait alors que les sorcières prenaient la forme de ces animaux pour commettre leurs méfaits.

Pourtant, dans d’autres cultures, comme en Égypte ancienne, le chat (de toute couleur) était vénéré comme un symbole de protection divine. Cette dualité entre malheur et protection fait du chat noir une figure ambivalente dans l’imaginaire populaire.

Passer sous une échelle : un chemin de malchance

Passer sous une échelle est une superstition vieille de plusieurs siècles. Dans l’Antiquité, les échelles étaient associées à des symboles religieux, formant un triangle avec le sol et le mur, un triangle sacré représentant la trinité. Briser ce triangle, en passant en dessous, était perçu comme un affront aux forces divines, et donc porteur de malheur. De plus, il y avait des raisons plus pratiques : passer sous une échelle pouvait être dangereux, surtout lorsqu’elle est en usage, ce qui a probablement contribué à la persistance de cette croyance.

Casser un miroir : sept ans de malheur

L’idée que casser un miroir peut apporter sept ans de malheur provient de croyances anciennes liées à l’âme humaine. Dans certaines cultures, les miroirs étaient vus comme des portails vers l’âme, et en briser un pouvait entraîner la détérioration de l’esprit ou de la chance d’une personne. L’association avec sept ans de malheur découle probablement d’anciennes croyances romaines, où l’on pensait que la vie d’un être humain se régénérait en cycles de sept ans. Par conséquent, casser un miroir interrompait ce cycle et apportait la malchance jusqu’à sa réparation complète.

Comment conjurer le sort ?

Pour ceux qui sont particulièrement sensibles à ces croyances, il existe de nombreux rituels et pratiques qui doivent vous aider à conjurer le mauvais sort. Toucher du bois est une méthode courante pour repousser la malchance, jeter du sel par-dessus l’épaule gauche est censé éloigner les esprits malveillants, quand d’autres choisiront de traverser la rue pour éviter un chat noir.

Mais, il est important de se demander si la malchance provient vraiment d’une superstition ou si elle cache quelque chose de plus profond. Parfois, cette impression de malchance persistante peut être liée à des événements ou des expériences passées, notamment des vies antérieures qui influencent le présent, ou des blocages émotionnels non résolus. Dans ces cas, une consultation de voyance peut être d’une grande aide.

La cartomancie, par exemple, peut révéler des aspects cachés de notre vie et mettre en lumière des options qui influenceront notre chemin de vie. Quant à l’exploration des vies antérieures, elle peut permettre de mieux comprendre certaines situations répétitives ou schémas négatifs dans nos vies actuelles. Plutôt que d’accuser systématiquement le mauvais sort, il est parfois nécessaire de chercher plus profondément l’origine de ce sentiment de ne pas avoir de chance et d’y remédier par un travail spirituel plus élaboré.

 

Ces croyances populaires qui perdurent à travers les âges sont fascinantes, car elles reflètent non seulement des traditions et des peurs anciennes, mais aussi notre rapport au mystère et à l’inconnu. Si certaines personnes y prêtent encore attention de nos jours, d’autres préfèrent les voir comme des vestiges du passé, sans véritable fondement. Pourtant, qu’on y croie ou non, elles continuent d’alimenter notre imaginaire et de susciter la curiosité.

Image par Pexels de Pixabay

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